Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 10 ans
Chap.I : Maman est partie
Vendredi 12 décembre 1984 Maman se plaint de douleurs au ventre, elle doit aller consulter un médecin et me confie à notre voisine Alice. Notre voisine est institutrice dans les classes des grandes à mon école. Tous les soirs, Papa rentre seul, il est pâle, je le sens soucieux. Il explique à Alice que maman a été retenue aux urgences.
Samedi 13 décembre 1984 Nous allons voir maman à l’hôpital. Je lui apporte un bouquet de lys, ce sont ses fleurs préférées. Maman m’attire vers elle, elle m’embrasse les larmes aux yeux et me dit merci. Papa reste au bout du lit et pleure. Je ne comprends pas pourquoi papa pleure, Je n’ai jamais vu Papa pleurer, Maman aime pourtant les fleurs. Je sens qu’il y a quelque chose de grave, mais je ne comprends pas quoi. En sortant, je ne sais pas encore que je ne reverrai jamais plus maman.
Chap. II : Notre voisine Papa a pris des arrangements avec Alice ; elle me prendra en charge quand il ne peut pas être présent, ce qui arrive de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps. Alice prendra également en charge le suivi de ma scolarité. Alice est très sévère, je suis pourtant dans l’ensemble bonne élève, mais la moindre faute dans mes devoirs, la moindre erreur en récitant mes leçons, et c’est la punition.
Les premières punitions étaient légères, une petite tape sur la main, ré-écrire les textes erronés debout. Toujours dur, jamais bien méchant. Subitement les sanctions sont plus sévères, plus douloureuses, je dois passer des soirées entières debout devant le mur blanc, ou elle rentre dans des furies et me tape dessus sans retenue.
Un jour, elle est rentrée avec un martinet. Elle s’en sert sans retenue, pour un oui, pour un non. Dès qu’on entame un contrôle, elle pose le martinet devant elle et pour la moindre erreur j’ai droit à une séance. J’arrive graduellement à nouer des liens affectifs avec le martinet, En m’installant pour réciter mes leçons, je me mettais à le regarder, à lui parler, comme un ami avec qui j’allais entretenir une conversation qui se faisait, d’ailleurs de plus en plus fréquente. Curieusement les brutalités cessent quand Papa est rentré.
Chap. III : la fac Je viens juste d’avoir vingt-deux ans, je vis ma dernière année à la faculté d’Angers. Je projette une carrière dans le secteur du commerce international. Je suis, dans l’ensemble bonne élève, mais ma bête noire, c’est le système boursier international. Je suis dans mon T2 et je planche, sans parvenir à me concentrer, sur les relations de l’indice Nikeï, l’influence des actes politiques sur le cours de la bourse, les relations commerciales Europe-asie. Je ne parviens pas à y manifester le moindre intérêt. Pour des secteurs que je n’ai, de toute façon pas l’intention de toucher.
Pour me changer les idées, je profite du soleil printanier pour aller prendre une bouffée d’air salvatrice dans les jardins du palais des congrès. Sur la place du ralliement, je rencontre Myriam, mon ancienne voisine de palier qui a obtenu son diplôme de la faculté de droit l’année dernière. Nous tombons dans les bras l’une de l’autre et décidons d’aller discuter autour d’un verre. Dans nos conversations je lui confie mes difficultés à approcher le système boursier et mon inquiétude car il ne reste plus que trois mois avant les contrôles de fin de cession.
- Je vais en parler à mon beau-frère, il est économiste, il pourra t’aider, c’est un gars sympa tu verras.
- Ton beau-frère ? Tu es mariée ?
- Ce n’est pas vraiment mon beau-frère, c’est le frère de l’époux de ma sœur aînée. Attends un instant je vais l’appeler.
Myriam se dirige vers le téléphone et revient quelques minutes plus tard.
- Bien ! Il est d’accord pour t’aider, il va arriver dans quelques minutes, je pourrai faire les présentations.
Un peu plus tard arrive un jeune homme de 25-28 ans athlétique très sûr de lui, brun, les cheveux courts, plutôt beau garçon, ce qui ne gâche rien. Il s’appelle Fabian. Nous convenons que dans un premier temps. Fabian me fera réviser le mercredi, samedi et dimanche à mon appartement. Il ne peut, pour l’instant me consacrer davantage de temps car il a acheté une maison dans la périphérie de Saumur et prépare le déménagement.
Chap. IV : la décision Samedi 7 mai 1988
Depuis un mois, maintenant, nous passons nos journées en révision et contrôle de mes compétences boursières qui, je dois avouer, sont laborieuses à acquérir. Il est 20 heures, je viens de prouver ma connaissance des rôles boursiers asiatiques, et satisfait de moi, Fabian ferme les livres qu’il a devant lui.
- Bien, je t’invite à dîner, ça nous changera les idées.
J’enfile ma petite robe turquoise avec un petit décolleté bateau, je dépose une longue écharpe en soie chinoise sur mes épaules et nous nous dirigeons vers le château du roi René. Sans m’en avertir Fabian a réservé une table dans un restaurant devant le château du Roi René. De la grande cuisine. Le chef s’est fait une spécialité de la réhabilitation de légumes oubliés. Pendant le repas, je sens le regard de Fabian qui se pose avec insistance sur moi.
- Tu es très belle...
- Tu exagères, à part mon père, mais son avis est subjectif, tu es le premier à me dire ça.
- Non ! Tu es très, très belle ! Et crois-moi, je sais ce que je dis, d’ailleurs je t’en fournirai la preuve...
La soirée se poursuit agréable, tout en douceur, sous une lumière intimiste. Fabian me ramène mais n’a visiblement pas envie que l’on se sépare.
- On va boire une tasse de café dans mon appartement ?
- Avec plaisir.
Je prépare un petit café serré que nous dégustons assis dans le divan. Je sens en cet homme la sûreté de lui-même, une puissance dans le caractère qui se traduit dans les gestes. Je me sens tellement bien auprès de Fabian que je me laisse aller à poser la tète sur son épaule. Il m’enlace le bras et sans un mot nous regardons dans le vide, pendant qu’il me caresse l’épaule. Fabien se lève et dépose nos tasses sur le petit guéridon puis me soulève dans ses bras comme si je n’étais qu’un fétu de paille pour me déposer sur le lit, et m’embrasse avec fougue.
- Bon dieu que tu es belle.
Je lui réponds avec un sourire que je dépose sur ses lèvres. J’ai le cœur qui bat la chamade sous les baisers de Fabian. Graduellement, ses mains descendent sur mes cuisses, puis remontent sur mon string dont il passe les doigts dessous pour caresser mon pubis. Je n’ai jamais connu d’homme de ma vie, malgré mon âge, je suis toujours vierge.
La raison me donne envie de dire non, mais le cœur crie oui à tout rompre. Je m’assieds sur le lit pour enlever ma robe et me laisse retomber aussitôt. Fabian me fait vibrer sous les caresses qu’il me dépose sur tout le corps, je ne sens plus mes muscles, ma peau ne réagit plus que par la douceur des lèvres que Fabian parcourt le long de celle-ci. Il passe les mains sous mon dos et dégrafe mon soutien-gorge d’un coup de doigt rapide. En même temps je relève son polo en lui caressant le torse. Nous nous retrouvons ainsi nus.
- Fabian ?
- Oui ?
- Je suis encore vierge...
Fabian ne cache pas sa surprise.
- Tu veux qu’on en reste là ?
Je lui réponds non d’un signe de tête. Sur ce, Fabian reprend ses caresses des lèvres agiles, des doigts experts. Il m’embrasse les seins puis mordille les tétons, descend sur mon ventre, puis se met à ma titiller longuement le clitoris de la langue.
Je sens que je perds la tête, ma respiration s’accélère en même temps que les battements de mon cœur, je ne parviens plus à réprimer des gémissements aussi courts que bruyants. Fabian saisit ma longue écharpe et m’entrave les poignets aux barreaux de lit avec une extrémité puis me bande les yeux avec l’autre extrémité.
Dès ce travail terminé, il reprend ses caresses de plus belle, je sens tout mon être qui vacille, il m’écarte les cuisses un peu plus fort et je sens qu’il dirige sons sexe vers le mien. J’ai un peu peur mais tout mon être excité à l’extrême par les caresses attend avec impatience les effets d’une pénétration dont je n’ai jamais fait l’expérience. Parce que je ne peux rien voir que je suis entravée, la peur s’en trouve attisée. Fabian pénètre en moi lentement avec douceur, puis soudain je ressens une méchante brûlure dans le bas ventre qui me laisse échapper un petit cri. Fabian à compris, il reste ainsi sans bouger de longues minutes. Puis lentement, très lentement il se met à bouger en va et vient dans mon ventre, lentement, en douceur.
C’est bizarre mais mon envie s’en était allée avec la brûlure, et revient graduellement avec les mouvements de Fabian. Je sens lentement l’orgasme me pénétrer le corps pour éclater . Je reste ainsi longtemps entravée, les yeux bandés à savourer les caresses de Fabien, jusqu'à vivre un nouvel orgasme. Je sens Fabian qui se laisse rouler à mes côtés, il tente alors de me détacher les poignets, je fais signe « non » de la tête. Je sens instinctivement que la soumission dans l’entrave à considérablement attisé mon orgasme, je ne contrôle plus mes paroles, ni mes actes :
- Sois sauvage, fais-moi mal !
- Tu veux vraiment ?
Je ne suis plus capable de répondre que par un signe de tête que Fabian immobilise en saisissant les cheveux à pleines mains et en s’agitant de plus belle. L’excitation monte en moi, mais je la sens retenue sans déterminer ce qui ne croise pas mon besoin de jouissance et le ressenti. Je serre les dents à me faire mal à la mâchoire
- Fais-moi mal, très mal...
Sur cette parole, Fabian se déchaîne m’enfonce soudain un mouchoir dans la bouche. Il prend ensuite le bout resté libre de l’écharpe, m’entoure le cou, puis me bâillonne. Tout en me mouvementant, il m’empoigne les deux seins en les comprimant durement les pointes entre le majeur et l’index qu’il serre comme des pinces. Je découvre la jouissance sexuelle dans la douleur. Fabian se laisse rouler à mes côtés. épuisés, il me détache les poignets, lentement. Je prends mon courage à deux mains :
- Je voudrais que tu me possèdes toujours comme cela, être ta chose.
- Quand on fait l’amour ?
- Tout le temps, je voudrais que tu fasses de moi ce que tu veux, quand tu veux, comme tu veux.
Fabian va chercher un livre dans l’imposante bibliothèque et me le confie.
- J’aimerais être sûr que tu saches exactement ce que tu me demandes, quand tu auras lu ce livre tu prendras ta décision en toute connaissance de cause.
Et nous nous endormons sur cette parole rassurante. Au retour de la fac, le lendemain, j’entame la lecture du livre confié. C'est l'ouvrage de Vanessa Duriès, « le lien » qui raconte par le menu les jeux de la séduction dans l’amour d’un couple qui vit une relation sadomasochiste. Loin de m’effrayer, ce livre m’excite plutôt, au point que je me surprends à me masturber pendant la lecture. C’est ce soir là que j’ai décidé que je serai l’esclave de Fabian.
Chap. V : les premières expériences
Le jeudi suivant, je décide de me rendre à Paris pour y acheter des accessoires pour vivre pleinement mes aspirations sexuelles. Je me souviens être passée devant des sex-shops quand j’étais au collège. Nous étions plusieurs et autant que je me souvienne, nous nous rendions vers le Sacré Cœur, et nous sommes passées voir la face mythique du Moulin Rouge. Le Minitel m’a renseigné « Moulin Rouge, Boulevard de Clichy », où je me rends donc. Je retrouve le magasin qui présente en vitrine de la lingerie érotique et toute sorte d’accessoires vibromasseurs, etc.. Mais ce qui m’intéresse, ce sont les systèmes qui permettront à Fabian, pardon, Maître Fabian, de m’immobiliser.
Mes maigres moyens limitent mon dévolu sur une paire de menottes, de poignet, de chevilles, accompagné d’un système de chaînes ajustable qui permettent de relier le tout. , J’achète aussi une paire de menotte que je conserverai à la maison, on ne sait jamais !
Rentrée à Angers, je me rends sur le boulevard de Strasbourg, pour y acheter 5 mètres de cordes de bon diamètre. Nous avons convenu avec Maître Fabian que je me rendrais dans son futur Logis de Saumur pour y réviser. J’ai pris l’option de faire le déplacement en scooter, ce qui me permettra de faire une surprise à mon Maître.
Le vendredi, j’emballe mes achats sous emballage cadeau, puis m’habille pour prendre le départ vers Saumur, j’enfile une robe courte couleur Turquoise à décolleté bateau. Mon scooter n’est pas un engin très rapide, si bien que le voyage prend près d'une heure et demie. Après un peu de recherche, je découvre enfin où mon maître habite. Je dépasse sa demeure, pour trouver des fourrés dans lesquels je me réfugie quelques instants pour ôter ma culotte et mon soutien-gorge que je range prestement dans le coffre de mon scooter. Après avoir parcouru un chemin de terre destiné aux viticulteurs, l’accès se fait par l’arrière, loin des regards indiscrets des conducteurs sur la nationale.
Arrivée chez mon Maître, mon cœur bat la chamade, je n’ose pas encore lui remettre « son »cadeau. Il me fait faire un tour du propriétaire. C’est une splendide maison très spacieuse, composée de plusieurs petites qui au fil du temps en ont formé une grande. Nous sortons alors pour descendre une pente assez forte et nous rendre dans les caves. Une vraie cathédrale.
Mon Maître m’explique que lorsque les maisons ont été construites, le sol a été creusé à même le tuffeau et les pierres ainsi extraites ont servi à bâtir les maisons. La cave est très grande, haute comme deux étages. Autour de la pièce principale sont taillées une dizaine de loges de différentes dimensions. La plus petite ne fait guerre plus de un mètre de haut et un mètre sur soixante-cinq centimètres au sol. La plus grande doit faire quatre mètres sur quatre et deux mètres cinquante de hauteur. Chaque loge est fermée par un grillage. Parfois au mur des logettes ont du servir de rangement.
Cet endroit rempli de mystère me semble le meilleur endroit pour offrir le cadeau à mon Maître. Je m’adresse à lui et dans un souffle lui demande de m’attendre. Je cours à mon scooter et reviens avec la boite que je lui offre. Surpris il m’interroge :
- Pour Moi ?
Je fais signe oui de la tête.
- En quel honneur ?
- Pour fêter mon changement de situation.
Visiblement, Maître Fabian n’a pas compris le message. Il s’accroupit et ouvre son paquet pour découvrir le livre « le lien », puis en souriant, le reste du contenu du paquet. Il prend un air grave et me questionne :
- Es-tu certaine que c’est ce que tu veux ? As-tu mesuré la conséquence de ton choix ? Ne veux-tu pas réfléchir auparavant ?
Pour toute réponse, je relève ma robe pour lui montrer l’absence de sous-vêtements.
- Mais jusqu’où veux-tu aller dans l’aventure ?
- Je veux être ton esclave, que tu uses de moi à ta guise, que tu me dresse pour être modelée comme tu le veux, que tu sois fier de moi.
- Bien déshabilles-toi et attends-moi ici.
Mon maître sort prestement, et je me mets nue aussitôt. J’hésite à enlever mes escarpins, mais désireuse d’obéir sans nuance je me déchausse. J’attends ainsi une demi-heure, peut être plus, me demandant si mon Maître m’avait oubliée.
Tout à coup, j’entends le bruit de ses pas. Directement il se dirige vers moi et me met un bandeau noir sur les yeux. Je sens qu’il me saisit les bras et d’autorité me croise les poignets dans le dos qu’il lie fermement avec une corde que je suppose être celle que je lui ai offerte. Il me ramène alors les coudes l’un contre l’autre qui sont ainsi maintenus par la corde .Il me lie, alors, les chevilles jointes. Une corde est alors entourée à mes poignets et accrochée je ne sais ou, tirée vers le haut, m’obligeant à me mettre sur la pointe des pieds si je ne veux pas que le cordage me pénètre dans les poignets. Je suis ainsi en équilibre précaire pieds joints et entravés. Tout geste pour prendre appui tend la corde qui me serre un peu plus fort poignets.
Une peur panique m’envahit lorsque j’entends les pas de mon Maître s’éloigner. Je veux le supplier de rester, mais je ne veux pas le décevoir. Je suis restée ainsi longtemps, très longtemps sans pouvoir en déterminer la durée avec précision, lorsque j’entends mon Maître revenir. Sa présence me tranquillise, j’ai l’impression de retrouver un certain équilibre à moins que l’habitude de la position ne m’aie inconsciemment fait trouver une certaine assise.
Mon Maître défait l’extrémité de la corde qui m’obligeait à cette position inconfortable.
- Veux-tu toujours que je fasse ton dressage ?
Je ne sens plus mes poignets privés de l’écoulement sanguin, mes chevilles me font mal, j’ai les cuisses et les mollets endoloris par l’inconfort de la position, mais je veux être la fierté de mon Maître.
- Je veux être ton esclave.
Je ne me suis même pas rendu compte que la réponse est venue seule, sans y avoir réfléchi.
- Réfléchis bien, ta réponse de maintenant est la définitive !
- Je suis ton esclave.
Pour prouver ma soumission je me mets à genoux pour répondre. Maître me redresse aussitôt en m’empoignant les cheveux.
- T’ai-je donné l’ordre de t’agenouiller ?
- Non !
- Non ?
Je ne sais que répondre, je viens de comprendre qu’une esclave n’a droit à aucune initiative, que je suis en train d’appartenir à mon Maître. Sans savoir que répondre de plus, je répète :
- Non !
- Non qui ?
- Non Maître
- La prochaine fois, tu seras punie.
- Oui maître.
J’ai retenu la leçon, je veux que mon Maître soit fier de moi, mais je sens que j’ai encore beaucoup à apprendre.
- Je vais commencer à te préparer en esclave.
Mon Maître me désentrave les chevilles, et toujours aveugle, les poignets toujours liés, il m’entraîne en tirant sur une corde qu’il vient de me passer autour du cou. Je sens que nous grimpons la pente de sortie. Je trébuche à trois reprises, mon Maître empêche que je ne tombe en me retenant par la corde de cou qui chaque fois s’enfonce dans mes chairs et me fait étouffer. La tentative de maintenir l’équilibre me fait bouger les bras, ce qui fait enfoncer la corde plus fort dans les poignets. Je me rends compte que les extrémités des doigts me piquent.
Arrivée je ne sais où, je sens mon Maître me soulever et me coucher sur une table. Les poignets sont entre la table et le dos, ce qui me les fait sentir plus douloureux. Mon Maître m’attache alors chaque cheville à la cuisse, jambe repliée au maximum, ce qui m’oblige à écarter les genoux et offrir mon sexe au regard de mon Maître.
Je sens mon Maître enduire mon pubis de ce que je crois être de la mousse à raser, ce qui se confirme lorsque je sens une lame se promener sur mon pubis, puis autour des lèvres de mon vagin, et ensuite autour de l’anus. Après un petit temps, mon Maître me délie les chevilles et me redresse sur les pieds.
- Voilà, dorénavant, tu te raseras le pubis comme cela, une bande de poils de 5 cm de large. Bien raser le pourtour du sexe et de ton cul.
Le terme utilisé me choque car n’a jamais fait partie de mon vocabulaire tant mon éducation a été stricte. Mais je fais confiance à l’éducation que mon Maître va me prodiguer. Les mains me font mal, je ne sens plus le sang circuler.
- Maître ?
- Oui ?
- J’ai mal aux mains, délies moi s’il te plaît !
Pour toute réponse je reçois une terrible gifle qui m’envoie rouler au sol. Je suis aussitôt redressée par les cheveux et entraînée dans un réduit minuscule où traîne ça et là quelques brosses et deux petites boites en carton. Mon Maître me fait mettre à genoux et m’enlève le bandeau noir qui m’empêchait la vue jusqu'à présent. Devant moi est épinglée une feuille de papier dactylographiée.
- Etudies cela par cœur esclave !
Mes poignets me font mal, je ne sens plus mes mains, ma joue me brûle, partout où est passée la lame de rasoir est en feu. Je suis seule, je me sens abandonnée, je me laisse aller à pleurer. Je voudrais pourtant que mon Maître soit fier de moi. Je sens que je vais craquer. Je me concentre sur la feuille de papier et me mets à étudier avec application pour oublier toutes mes douleurs.
Art 1 : Je suis une esclave, tout mon être, mon corps, mon esprit appartiennent à mon Maître. Je n’ai plus aucun droit sur rien. Je me dois d'obéir à ses ordres qu’il soit ou non présent. Art 2 : En présence de mon Maître je me dois de baisser humblement les yeux, de ne parler que s’il me l’autorise, de ne faire que ce que m’autorise mon Maître. Art 3 : Les souhaits, instructions de mon Maître doivent êtres considérés comme des ordres. Un ordre doit être exécuté sans délais, sans discussion ou contestation. Je ne suis à cet égard jamais autorisée à manifester, montrer la moindre manifestation de refus, d’émotion ou de faiblesse. Art 4, : Je me dois d’avoir un maintien qui me mette à la disposition permanente de mon Maître, et pour cela, les pantalons sont interdits. De même, les culottes slips, strings sont interdits. Le port du soutien gorge n’est autorisé qu’en l’absence de mon Maître dans le souci de bien maintenir ma poitrine. Dès que je suis informée de la venue de mon Maître ou à défaut dès que je le vois arriver, je me dois d’ôter le soutien-gorge sans délais. Art 5. : Je suis une esclave, comme telle, je me dois d’adopter des positions permettant à mon Maître de disposer de moi à sa guise. Je me dois, entre autre de ne jamais tenir les genoux serrés, de ne jamais croiser les bras sur ma poitrine, de me mettre pour que mes vêtements puissent être remontés, enlevés avec toute facilité. Art 6. : Si je transgresse une règle dictée par mon Maître, qu’elle soit écrite ou non, que mon Maître soit présent ou non, je me dois d’en informer mon Maître dans les délais les plus brefs. Si mon Maître décide de me punir, je me dois d’appliquer la punition dans son intégralité, que mon Maître soit ou non présent. Art 7 : Tous les jours je me dois de renseigner sur un agenda, les fautes ou erreurs que j’ai commises qu’elles soient au su ou à l’insu de mon Maître. Agenda qui servira à mon Maître pour l’aider dans mon dressage.
La porte s’ouvre soudain, mon Maître me regarde, je baisse les yeux comme il me l’a appris.
- Tu connais par cœur ?
- Oui Maître !
- C’est très bien d’apprendre, encore faut-il appliquer ! Je reviendrai dans une heure pour voir !
Et la porte se referme brusquement ! Je suis désespérée, je vais craquer, pourquoi est-il parti sans me questionner, qu’ai-je donc fait ? Je m’aperçois que j’avais conservé les genoux joints. C’était donc cela ! Je m’en veux de m’être laissée prendre ainsi bêtement. J’ai mal partout ! Je rectifie ma position immédiatement, la moquette du couloir m’empêche d’entendre mon Maître arriver. Ca ne fait qu’augmenter mes douleurs aux genoux. J’étais depuis longtemps en train de me demander si je n’allais pas arrêter cette expérience quand mon Maître a brusquement ouvert la porte.
- Maintenant, je sais que tu connais bien les règles, pas besoin de te faire réciter.
Avec douceur Maître Fabian m’emmène dans la salle à manger, et me délie. Mon Maître a dressé la table sur laquelle trône un repas froid comme on n’en voit que dans les grands buffets. En m’embrasant avec tendresse, il me susurre dans l’oreille :
- Je suis vraiment très fier de toi...
La douceur de ces mots me fait oublier qu’il y a cinq minutes j’étais au bout du rouleau. Après un repas frugal bien arrosé, nous nous mettons au lit, et paradoxalement j’ai hâte de poursuivre l’expérience. Mais mon Maître met rapidement fin à mes illusions.
- Nous arrêterons l’expérience pour l’instant, on recommence les révisions dès demain.
Je me lève et vais chercher les menottes mains-pieds qui sont dans le tiroir de la commode et les pose sur le lit.
- Alors, j’ai encore une nuit pour être ton esclave !
- Soit !
Mon Maître m’attache alors les menottes, poignets dans le dos et ramène les chevilles menottées contre mes poignets avec la chaîne jointe. C’est ainsi que je me suis endormie, épuisée mais heureuse.
Chap. VI : les révisions... et le cachot à suivre ici
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